Le 1er mars, l'IHECS organisait une journée d'échanges autour de la Covid entre différents intervenants aux disciplines variées. Parmi eux, des intervenants connus du grand public qui, pour la plupart ne s'étaient jamais croisés sur les plateaux télévisés. L'objectif était de tirer un bilan au bout de deux années de crise au travers de différentes thématiques: de la vaccination en passant par les aspects juridiques, la prise en charge médicale ou encore les conséquences psychologiques et sociales sur le court, moyen et long terme.
Il a suffi d’un tout petit agent pathogène pour mettre le monde à genoux.
Confinement, testing, distanciation physique et sociale, port du masque obligatoire, vies culturelles et sociales quasi à l’arrêt ou sévèrement restreintes et contrôlées, écoles fermées, voyages et vols annulés, découpage des régions et des pays en codes couleurs, les gouvernements, suivant en cela les recommandations d’experts quasi inconnus du grand public, prennent la mesure du danger en sacrifiant une part de nos libertés fondamentales, transitoirement. Et le transitoire s’éternise.
La crise sanitaire vécue au niveau mondial liée à l’apparition d’un virus potentiellement mortel a plongé nos économies et notre façon de vivre dans une situation totalement inédite.
Les écoles sont fermées, les usines sont à l’arrêt ou fonctionnent de manière limitée, les populations sont confinées, les événements sont annulés et la fréquentation des parcs publics est strictement limitée.
Trente ans après la chute du Mur de Berlin, événement symbolique de la fin de la « vraie » » guerre froide, le 3e Colloque des "Rendez-vous du Bastogne War Museum" est consacré à cette question.
L'informatique fascine et inquiète. Certains appellent d'ores et déjà à un moratoire sur les robots, d'autres rêvent d'une humanité augmentée. Mais si les uns et les autres se trompaient sur le véritable enjeu ? La thèse de Mark Alizart est que l'informatique n'est pas un instrument, mais l'essence même du monde contemporain. D’après lui, ce qui se donne ainsi à penser avec l'informatisation de la société n'est rien d'autre que la venue à la conscience de l'univers tout entier.
Madame Wilmès interviendra sur l'enjeu "Communication(s) en politique: de la relation avec les médias à l'art du compromis". Sa présentation sera suivie d'échanges avec la salle.
Le colloque souhaite interroger les conséquences que la rupture idéologique liée à la radicalité peut avoir sur les logiques / pratiques traditionnelles de la communication politique. D’autre part, il propose de considérer l’articulation entre « horizontalité » et « verticalité » à l’intérieur des nouveaux mouvements radicaux.
Un mercredi sur deux, les passionnés de nouvelles technologies et d’innovations de tout poils se retrouvent pour débattre de thèmes actuels et varié au Café Numérique. Il y a une semaine, les questions de genres dans la publicité classique et numérique on été abordées chez TBWA.
Ce jeune trentenaire, californien d’adoption, expert en innovation, digital, experiential et guerilla marketing, professeur et chercheur à l’université de San Diego, travaille avec l’agence qu’il lead – Street Marketing™ by LCA – à travers le monde pour de belles marques à la recherche d’innovations et de nouvelles expériences. C’est à lui que la marque de biscuits Michel et Augustin doit son entrée dans les Starbucks de New-York et ce, grâce à une activation de street marketing simple mais très efficace.